mercoledì 30 ottobre 2013

L’Oreal

Un rettangolo da sfruttare.
Il titolo realizza da qualche mese un movimento laterale tra 120.50 e 130.50 euro circa caratterizzato da una lunga serie di massimi e minimi relativi effettuati in corrispondenza dei livelli estremi sopra evidenziati. Anche questo caso potrebbe finire fra qualche anno nei libri di analisi tecnica.

Possiamo sfruttare la tendenza in atto e l’ampiezza di 10 euro creando un’area di ipercomprato tra 128.50 e 130.50, nonché un’area di ipervenduto tra 122.50 e 120.50. Un po’ come se si trattasse di un Rsi o di uno Stochastic.

Alcuni spunti operativi:
Si acquista dopo il ritorno al di sopra di 122.50 e si vende nell’area 128.50/130.50.
Il superamento di 130.50 potrebbe lasciar spazio all’inizio di una fase ascendente.
Il cedimento di 120.50 potrebbe precedere l’inizio di una fase discendente.

Solitamente, i movimenti laterali, se sufficientemente ampi, posso anche essere utilizzati in questo modo.

Stiamo a vedere nel prossimo futuro il comportamento del titolo dopo la fuoriuscita dall’area 128-50/130.50.

Da “bravo analista”, in questo caso non abbiamo una previsione, ma una metodologia che è molto meglio.

Cordialmente
Giovanni Maiani

 
L’Oréal

Un rectangle à exploiter.

Le titre réalise depuis quelques mois un mouvement latéral entre 120.50 et 130.50€ environ caractérisé par une longue série de sommets et de moindres relatifs effectués en relation des niveaux extrêmes précités. Ce cas aussi pourrait finir dans quelques années dans des livres d'analyse technique.

Nous pouvons exploiter la tendance en acte et l'ampleur de 10€ avec la création d'une zone de « surachat » entre 128.50 et 130.50 et une zone de « survente » entre 122.50 et 120.50. Un peu comme s'il se traitait d’un Rsi ou d’un Stochastique .

Quelques idées opératives:
Des achats après le retour au-dessus de 122.50 et ventes dans la zone 128.50/130.50.
Le franchissement de 130.50 pouvait précéder le début d'une tendance à la hausse.
Le retour au dessous de 120.50 pourrait précéder le début d'une tendance baissière.

En général, les mouvements latéraux, si suffisamment amples, peuvent être utilisés de ces façons.

Nous verrons très prochainement le comportement du titre après sa sortie de l’aire 128-50/130.50.

Aujourd’hui, nous n'avons pas une prédiction, mais une méthodologie ce qui est beaucoup mieux.

Je m’excuse pour mon français, mais je vis à l’étranger et j’ai eu très peu l’occasion de m’en servir depuis 1987.

Salutations.
Giovanni Maiani

martedì 29 ottobre 2013

La giornata mondiale del risparmio.

Mercoledì è la giornata mondiale del risparmio. Parliamone.

Non tratteremo in questa sede del risparmio energetico o del risparmio legato al consumo “intelligente” ed al riciclo, anche se entrambi devono essere assolutamente valorizzati e condivisi, ma bensì del risparmio delle famiglie o, come dicono gli anglosassoni, del Household saving.

In primis, osserviamo che il tasso di risparmio delle famiglie nell’UE27 alla fine del primo trimestre del 2013 era pari all’11%, mentre flette dai massimi raggiunti durante il 2° trimestre del 2009 a 13.6%. Nel zona euro (ZE17), invece, il dato attuale era pari al 13.10% dal massimo di 15.8% del 1° trimestre del 2009. Emerge graficamente che il peggioramento della situazione nella ZE17 ha favorito la recente realizzazione di un nuovo minimo relativo, mentre questo non è accaduto nell’Ue27.

 

Inoltre, il tasso di risparmio delle famiglie si è praticamente dimezzato in Italia dal 1995 (21.84%) ai giorni nostri (11.40% nel 2012) e tale scenario ricorda anche quello olandese, anche se in modo meno marcato. Tra i paesi geograficamente più vicini a noi leggiamo che la Germania ha avuto un tasso relativamente costante durante gli ultimi 18 anni e, anzi, il tasso attuale di risparmio (16.9%) è leggermente superiore a quello del ’95 (16.63%). Anche la Francia è rimasta stabile con un tasso medio nel periodo del 15.12%. La Svizzera ha un tasso medio del 16% durante gli ultimi 18 anni in linea con quelli precedenti, anche se poteva essere atteso ben più alto. Il Regno Unito ha in tasso di risparmio delle famiglie storicamente basso attualmente del 6.57% rispetto al precedente 9.42% del ’95. Altri paesi hanno fatto peggio del bel paese e cito rapidamente l’Estonia (6.70% nel 2012), forse a sorpresa la Finlandia (8.75%), la Lituania (9.20%) e la Polonia (8.16%) per citarne alcuni. Molto bene il Belgio (15.44%), ma la Germania prevale su tutti nell’Ue nel 2012. Molto interessante visto la crisi del debito pubblico europeo ed la Grecia…


Abbiamo visto molto rapidamente, ma è bastato per rendere l’idea, che lo scenario italiano si sia deteriorato maggiormente rispetto agli altri paesi geograficamente vicini e ciò ci fa capire il peggioramento del bel paese nel panorama europeo. Un ennesimo segnale che l’Italia è alla canna del gas.

Da “bravo analista” ricordo che si diceva una volta che l’Italia era il paese che risparmiava maggiormente in Europa, ma ora è soltanto un bello ricordo, e questo ci deve preoccupare. Non penso che le cose potranno migliorare in modo significativo nei prossimi anni in quanto il continuo aumento delle tasse penalizza il consumo, gli investimenti (pari al 7.9% nell’Ue27 al 1° trimestre dell’anno dall’11% del 1° trimestre del 2007) ed il risparmio delle famiglie.

La prossima giornata mondiale del risparmio ci deve dunque fare pensare, e molto.

Cordialmente.
Giovanni Maiani

domenica 27 ottobre 2013

Le marché boursier français.

Nous analyserons très synthétiquement le marché boursier français des 10 dernières années.

Les 10 sous-indices du Cac All Tradable.
Le graphique normalisé des sous-indices du marché boursier français met en évidence que les secteurs qui se sont mieux comportés sont les matériaux de base e les industriels qui ont gagné più de 150% depuis la fin di mois de octobre 2003. Le fond du classement est occupé par les secteurs de la technologie et des télécommunications qui perdent respectivement le 28% et le 65% pendant toute la période. L’indice Cac All Tradable gagne un peu moins de 41% pendant les dix dernières années.


Les principaux indices boursiers
.
Ici aussi nous avons normalisé les séries historiques des indice Cac All Tradable (ancien SBF 250 ; tous les titres négociables), Cac (les 40 titres plus importants du marché boursier français) et le CN20 (Cac Next 20; les successifs 20 titres plus importants après ceux du Cac).
C’est très intéressant d’observer que les titres de l’indice CN20 sont très performants si nous les comparons avec le reste du marché ou avec les principaux 40 titres français et cette surperformance a commencé le 9 mars 2009. En effet, l’indice CN20 a gagné plus de 141% pendant la dernière décennie, alors que les performances des indice Cac All Tradable et Cac ont seulement atteint respectivement +41% et +27%.


Voyons très rapidement l’indice CN20 et les titres qu’il représente.
Tout d'abord, à vendredi dernier, la capitalisation boursière de l’indice CN20 représentait moins du 14% de celle de l’indice Cac, ce qui nous fait comprendre la dimension de l’indice. La performance depuis le début de l’année est de +21.91% par rapport au +17.34% du Cac. La corrélation entre ces deux indices est actuellement de 85% ce qui semble beaucoup, mais la corrélation avait rejoint 98% dans le mois de mars 2009; donc au début de la surperformance du CN20. La volatilité à 360 jours est de 13.79% pour le CN20 et de 18.41% pour le Cac.

Performance % depuis le début de l’année et Capitalisation boursière.
Nous observons 4 titres qui ont une capitalisation boursière relativement basse, mais qui ont réussi à faire des miracles et ont été soutenu par les acheteurs. En effet, le titre Alcatel Lucent (en rouge) gagne en ce moment plus de 151% depuis fin décembre, Valeo (en vert) +98%, Natixis (en orange) +85% et Peugeot (en violet) +82%.

Rapport entre Alpha et Beta.
Entre les titres qui présentent un bon rapport entre la force (alpha) et le risque (beta) nous ne pouvons pas citer Iliad SA avec un alpha de 0.67 et un beta très bas de 0.47, Zodiac Aerospace avec un alpha et un beta de 0.63. Intéressant aussi Bureau Veritas avec 0.35 de alpha et 0.55 de beta. Au contraire, Peugeot est beaucoup plus faible du marché (alpha de -0.55) et énormément plus volatile/risqué (beta de 1.52).


Bénéfice par action (Eps) et prix par bénéfice (PE).
Nous retrouvons Peugeot qui a un bénéfice par action négatif, donc une perte, et par conséquence le rapport avec le prix boursier ne vient pas reporté. Alcatel Lucent est dans la même position. Ce dernier cas montre bien come la situation boursière peu être très différente de la situation comptable d’une société. 


Analyse technique.
Indice CN20
L’indice CN20 effectue une série de nouveaux sommets, mais il semble en difficulté dans l’intervalle 8540/50 qui a testé à plusieurs reprises. Il y à le risque d’un « pull back down » autour dei 8630 euro. En effet, l’indice pourrait intéresser la zone située autour de ce denier niveau avant de rétrocéder. 


Hermes International
Hermes teste un support dynamique de longue période et se trouve donc dans une situation d’équilibre précaire. La situation n’est pas encore compromise, mais le titre devrait récupérer immédiatement pour éviter ce qui pourrait se traduire dans le début d’une période d’inversion baissière.


Cordialement.
Giovanni Maiani

venerdì 25 ottobre 2013

Usd/Gbp – Importante test

Doppio supporto di lungo periodo.

Il dollaro americano ha realizzato durante lo scorso mese di luglio un massimo relativo a quota 0.6750 nei confronti della sterlina inglese per poi indietreggiare fino agli attuali 0.6150£ circa.



Interessante osservare che i livelli odierni sono testimoni dell’incrocio di 2 supporti dinamici di lungo periodo entrambi ricavati congiungendo vari punti che ne aumentano la validità. Il momento è particolarmente impegnativo in quanto il biglietto verde è a un bivio e potrebbe rimbalzare immediatamente realizzando un pull back up in corrispondenza del supporto evidenziato sul grafico in rosso o cedere quindi iniziare una probabile fase di inversione ribassista a seguito del cedimento dei 2 supporti come sopra.

Meglio non intervenire all’interno di un’ampia area di relativa neutralità definita nell’intervallo 0.61/63£ per limitare il rischio di falsi segnali operativi.

Il tasso di cambio dollaro americano contro sterlina inglese è ad un importante test che condizionerà senz’altro i mesi a venire.

Ricordo che la Fed si riunirà nuovamente il prossimo 30 ottobre per decidere sui tassi d’interesse che dovrebbero tuttavia rimanere invariati. Inoltre si parla sempre maggiormente di un Ltro III, mentre la Cina cerca di diminuire l’influenza internazionale del dollaro Usa. Questi elementi, ma l’elenco è ovviamente molto più ampio, possono influenzare il dollaro Usa.

Cordialmente,
Giovanni Maiani

giovedì 24 ottobre 2013

L’osservazione obiettiva dà immediatamente i suoi frutti.

Ho pubblicato proprio ieri una semplice analisi dove mettevo in evidenza che il numero di 12 minimi ascendenti consecutivi realizzati dall’indice italiano Ftsemib fosse decisamente elevato e come si trattasse di un massimo storico, nonché di un dato in ogni caso significativo in quanto riferito ad un evento consecutivo rialzista, o ribassista. Inoltre, avevo sottolineato che poteva “essere interessante cercare di sfruttare tale, semplice, statistica per aprire una posizione short in un’ottica di trading, e ovviamente con stop strettissimo, in caso di cedimento del precedente minimo (che ricordo era pari a 19221)”.

Casualmente, anche se il caso non esiste, abbiamo immediatamente assistito alla realizzazione di un minimo daily discendente che ha interrotto in questo modo la serie di minimi ascendenti consecutivi fermata pertanto a quota 12.

Inoltre, come dalla nostra precedente strategia operativa, il cedimento del precedente minimo daily di 19221 ha favorito l’apertura di qualche short ed il raggiungimento serale di quota 18890. La performance lorda dell’operazione è stata di +1.73%, in poche ore e senza l’utilizzo di metodi improponibili. Inoltre, non è detto che la discesa sia finita…


Da “bravo analista” voglio soltanto attirare la vostra attenzione sul fatto che le cose semplici sono le più valide e durature nel tempo. Spesso diamo per scontato alcuni concetti basilari e pensiamo che più una cosa è complicata più è efficace, ma a volte non è cosi. In certi casi occorre ritornare ad osservare con gli occhi di un bambino per vedere le cose diventate ormai nascoste o mutate a noi adulti. Il motivo principale è perché spesso, come si dice, ce la tiriamo e non ragioniamo in modo obiettivo. L’altro è perché abbiamo una mente impegnata da 1000 problemi.

Tuttavia, non è complicato. Basta un’osservazione obiettiva e sincera.

Cordialmente.
Giovanni Maiani.

mercoledì 23 ottobre 2013

Ftsemib: 12 minimi ascendenti consecutivi.

Interessante osservare che, con la chiusura di martedì 22 ottobre, l’indice azionario italiano Ftsemib ha messo a segno ben 12 minimi giornalieri ascendenti e consecutivi.

E’ la prima volta dal 2003 che l’indice raggiungere le 12 sedute consecutive, mentre nei mesi di luglio 2009 e di febbraio 2006, il numero massimo di minimi ascendenti consecutivi si era fermato a 10. Una mia statistica effettuata anni fa mostrava che il numero di 15 sedute consecutive, in un senso o nell’altro, era un livello decisamente elevato, quasi massimo. Per conoscenza, sempre durante gli ultimi 10 anni e riferito al Ftsemib, il numero massimo di aperture rialziste e consecutive è di 14, 10 per i massimi rialzisti e consecutivi, nonché 9 per le chiusure rialziste e consecutive.

E’ lecito ipotizzare la realizzazione di un prossimo minimo di giornata inferiore a quello della seduta precedente. Potrebbe dunque essere interessante cercare di sfruttare tale, semplice, statistica per aprire una posizione short in un’ottica di trading, e ovviamente con stop strettissimo, in caso di cedimento del precedente minimo. Per domani l’eventuale livello di intervento sarebbe di conseguenza il cedimento di 19221.

In ogni caso, l’indice realizza un nuovo massimo nella statistica sopra evidenziata.

Ps: Nuovamente complimenti all’atleta della nazionale sammarinese Francesco Seynghyun, categoria -68 kg, che ha conquistato il secondo Oro in 8 giorni nel taekwondo, questa volta all’interregionale di Ancona del 20 ottobre 2013.

Cordialmente.
Giovanni Maiani.

martedì 22 ottobre 2013

Bond Siemens 1.50% scadenza 10/03/2020

Possibile recupero.
Il bond emesso solo qualche mese fa in Olanda, come spesso accade con gran parte delle nuove emissioni, appare ancora molto attraente.

Prima di tutto i rating Aa3 per Moody’s e A+ per S&P, anche se i rating sono in molti casi relativi o discutibili, evidenziano un bond ragionevolmente sicuro ed il basso rendimento della cedola pari all’1.50% rappresenta una conferma in tale senso.


In questo momento, il bond (Isin DE000A1G85B4) è acquistabile a poco meno di 98 ciò che rappresenta un rendimento a scadenza dell’1.83%. Pertanto, rispetto al rendimento della cedola dell’1.50%, il prezzo del bond relativamente basso in questo momento offre una sovra performance dello 0.33% ciò che non è da disprezzare nell’attuale condizione di mercato.

Di conseguenza, è lecito ipotizzare una prossima reazione positiva del prezzo che dovrebbe avvicinarsi ulteriormente, anche se momentaneamente, a quota 100, o oltre. Se questo dovesse tardare, abbiamo in ogni caso in mano un bond relativamente buono che scadrà fra meno di 7 anni.

Cordialmente.
Giovanni Maiani.

venerdì 18 ottobre 2013

Bmps – Importante test

Possibile pullback up.

Il titolo ha generato un segnale di rafforzamento lo scorso 8 ottobre a seguito del superamento della resistenza dinamica (ora supporto) ricavata congiungendo i tre massimi discendenti che stanno caratterizzando l’anno in corso. Vedi la retta blu sul grafico. Da allora, Bmp effettuato un movimento a “V” durante il quale ha realizzato un pullback up. Fondamentale di conseguenza la tenuta del neo supporto posto nell’area 0.2320/300 il quale eventuale cedimento potrebbe annullare la conformazione grafica di pullback up e lasciar spazio ad una possibile fase di inversione ribassista di breve periodo. Al rialzo, invece, il titolo interessa in varie occasioni la resistenza statica individuata nelle immediate vicinanze del massimo relativo, l’ultimo dei tre sopra accennati, realizzato lo scorso 19 agosto a 0.2486 euro.


Abbiamo di conseguenza un titolo che cerca di confermare la realizzazione di un recente pullback up e potrebbe riuscire nel suo intento in caso di supermento confermato della resistenza di quota 0.249 circa.

Ça va sans dire, l’andamento borsistico del titolo è ovviamente condizionato dalle vicende giudiziarie, e non, dell’istituto di credito. Pertanto, in caso di un eventuale intervento sul titolo, è sempre d’obbligo l’utilizzo di stop loss stretto, mentre sarà fortemente raccomandato un costante monitoraggio delle news societarie (anche se parliamo di analisi tecnica).

Cordialmente
Giovanni Maiani

giovedì 17 ottobre 2013

Referendum sammarinese del 20 ottobre 2013.

Avevo pubblicato il giorno 30 settembre l’articolo intitolato “L’adesione all’Ue.” ed il giorno 11 ottobre l’articolo intitolato “Salva stipendi”, entrambi relativi al referendum del prossimo 20 ottobre che contempla entrambi i quesiti.

In entrambi i casi avevo scritto qualche cosa del tipo: “Non essendo un politico non vi dirò di certo cosa fare, ma in qualità di cittadino e di “bravo analista” cercherò di evidenziare qualche aspetto importante…”. Tuttavia, oggi, voglio scrivere altre 2 righe al riguardo evidenziando il mio modestissimo parere, puramente tecnico e totalmente apolitico.

-         L’adesione all’Ue.

Lo scorso 30 settembre avevo attirato la vostra attenzione su “Gli eventuali fondi Iap”.

Oggi, invece, vi dico perché, secondo me, dobbiamo votare “Si”.

San Marino tenta di cancellare la sua etichetta di “paradiso fiscale” e, pertanto, deve dire all’Ue che ha delle intenzioni serie ed oneste e che vuole procedere in tale senso. L’Ue probabilmente non ci vuole, siamo troppo piccoli ed occorre un lavoro immenso per i vari adeguamenti (senza pensare a che cosa possiamo offrire all’Ue?), ma per lo meno mostriamo la nostra buona fede. Diversamente, se diciamo “No”, dimostriamo che vogliamo rimanere per conto nostro, mentre abbiamo già perso molti dei nostri vantaggi; basta vedere i numeri della raccolta bancaria, l’aumento delle tasse, il tasso di disoccupazione ed il numero di aziende chiuse. Il rischio non è quello di perdere la nostra sovranità, già parzialmente compromessa dai pessimi conti pubblici, ma quello di auto isolarci ulteriormente e di vedere veramente una dogana ai confini (in modo figurato e non) che penalizzerebbe in primis la vita quotidiana e l’attività economica, ma non solo.

-         Salva stipendio

Lo scorso 11 ottobre, in relazione “all’adeguamento automatico delle retribuzioni ad uno strumento fino al rinnovo dei contratti scaduti”, avevo evidenziato il rischio di deflazione.

Oggi, invece, sottolineo perché, secondo me, dobbiamo votare “No”.

Prima, i dipendenti non devono essere nella condizione di avere un contratto di lavoro scaduto da mesi/anni (anche se in certi casi potrebbe essere vantaggioso rispetto ad una pessima contrattazione). Ciò evidenzia una mancanza di rispetto dovuto al fatto che i dipendenti, in fondo, hanno un poter contrattuale ridotto, a maggiore ragione, nei tempi di crisi come questi. Pertanto, quanto si ha a che fare con i più forti, soprattutto se siamo deboli (per egoismo e dunque per mancanza del senso del gruppo) ed il terreno di confronto ci è sfavorevole, c’è poco da fare. Dipende solo da noi.

Secondo, visto che i dipendenti sono obiettivamente la parte più debole per i motivi come sopra, e a me dispiace in quanto in questo momento sono un dipendente, penso che sia del tutto controproducente cercare di costringere la controparte ad una qualsiasi forma di adeguamento forzato. Non ne vedo proprio il vantaggio. Questa non è una guerra e, se lo fosse, i dipendenti non la possono vincere quando lo scenario economico è pessimo. Non è questa la soluzione.

Pertanto, dobbiamo trovare il modo di non trovarsi nella condizione di avere un contratto scaduto. Il problema è solo questo, a priori. L’adeguamento ponte è un’accettazione della nostra debolezza.

Inoltre, come ribadito anche venerdì scorso, il grafico accanto mostra il trend discendente del tasso annuo di inflazione, in Italia ed in zona euro, nonché la sua elevata volatilità, mentre un eventuale adeguamento al tasso del rendimento medio a 10 anni del titolo di Stato italiano, per esempio, potrebbe rappresentare una valida alternativa. Oggi giovedì è uscita l’inflazione finale di settembre nella zona euro pari all’1.10%, valore che rappresenta il minimo dal mese di marzo 2010. Lo strumento dell’inflazione potrebbe, quasi ironicamente, essere quello meno adatto allo scopo, anche per la metodologia di calcolo. Ricordo il mio articolo del 10 marco 2011 intitolato “CPI: Consumer Price Index o, in italiano, Ci Penso Io?”.


Quindi, un “No” al “Salva stipendio” sia per la forma che per lo strumento.

In breve, attualmente, nel mondo:
- In queste ore, gli Usa hanno trovato un accordo provvisorio al Senato e leggiamo dalla Reuters che “L'intesa consente l'innalzamento del debito sino al 7 febbraio e il finanziamento delle agenzie governative fino al 15 gennaio”. Ora manca il voto della Camera che potrebbe avvenire anche prima della pubblicazione di questo articolo. Tutto va nel senso del mio precedente scritto del 7 ottobre intitolato “Patata bollente dall’America.” nel quale evidenziavo con precisione che “Pertanto, è ragionevolmente lecito ipotizzare una soluzione ai problemi “Shutdown” e “debt ceiling” alla vigilia del 17 ottobre o i giorni immediatamente precedenti.”
- Lo spread italiano è tornato a quota 229 facendo registrare un nuovo minimo relativo da qualche mese a questa parte.
- Il Fmi ha smentito categoricamente qualsiasi notizia relativa ad un prelevamento del 10% del risparmio privato nei 15 paesi della zona euro.
- I nomi cambiano, da “finanziaria” a “legge di stabilità”, ma i problemi italiani rimangono.
- San Marino dovrà sostenere un nuovo referendum domenica prossima e, nel contesto internazionale, sembra ben poca cosa, ma da “bravo analista”, ricordo che l’evento avrà obbligatoriamente, in un modo o nell’altro, delle conseguenze valide nel lungo periodo nella più antica Repubblica del mondo, anche patrimonio dell’Umanità, e nelle zone limitrofe (per i circa 6 mila frontalieri).

La cosa più importante da fare durante il prossimo referendum, più ancora di quella di votare “Si” e “No” nell’ordine come sopra, è quella di esercitare il proprio diritto di voto. Siamo ancora in un paese apparentemente libero (parlo sia di San Marino che dell’Italia) e dobbiamo, nel modo più assoluto, utilizzare la nostra facoltà di scelta. Se dimostriamo che non siamo interessati a dire la nostra, le poche volte che ci viene chiesto, ci verrà tolta questa opportunità e, successivamente, ci ritroveremo in uno Stato semi totalitario nel giro di qualche decennio. Dopo sarà troppo tardi.

Essere un “bravo analista”, secondo me, non vuole dire essere un genio, ma indica soprattutto che, oltre alla propria idea, occorre rimanere sempre obiettivo. Nel caso specifico, colgo l’occasione per ribadire l’importanza del diritto di voto. Su questo non sbaglio di certo.

Se mi permettete, questa volta sono di parte, ma l’articolo è finito. Vorrei congratularmi con l’oro conquistato domenica nel taekwondo durante il Bulgari Cup 2013 dall’atleta della nazionale sammarinese Francesco Seynghyun nella categoria -68 kg.

Cordialmente
Giovanni Maiani

venerdì 11 ottobre 2013

Salva stipendi

Lo scorso 30 settembre avevo pubblicato un articolo sul referendum del prossimo 20 ottobre relativo alla richiesta di adesione di San Marino all’Ue con particolare riferimento ai fondi Iap.

Oggi voglio attirare la vostra attenzione sulla seconda parte del referendum, non meno importante, cosiddetta “Salva stipendi”.

Partirei in primis dalla domanda perché importantissima:

“Volete voi che, fino al rinnovo dei contratti collettivi di lavoro scaduti, le retribuzioni dei lavoratori dipendenti siano rivalutate al primo gennaio di ogni anno di un importo pari alla percentuale di inflazione rilevata nell’anno precedente dall’ufficio informatica, Tecnologia, dati e Statistiche dello Stato?”

Siamo tutti d’accordo, almeno noi dipendenti, che la priorità va data alla salvaguardia del nostro potere d’acquisto.

Utilizzerò sempre la seguente ipotesi, tranne diversa indicazione.
L’adeguamento automatico prevede, per un certo periodo di tempo che può essere teoricamente anche di qualche decennio, diciamo 2, un aumento dell’1% l’anno (visto che il contratto non viene mai rinnovato).

Sembra un’ipotesi improbabile, ma non lo è affatto. Vi ricordate l’11 settembre 2001 o il crack Lehman? Non è perché una cosa non è mai avvenuta che non accadrà mai. Io non sono mai morto in vita mia, ma è probabile che prima o poi…

Prima perplessità: la forma, ossia l’adeguamento automatico delle retribuzioni ad uno strumento fino al rinnovo dei contratti scaduti.

Sembra una cosa ottima, ma rischia di penalizzarci fortemente. Non vedo perché, a prescindere, debba esserci per forza favorevole. Io ho fatto sia il datore di lavoro che il lavoratore e, la prima cosa che mi viene in mente, da ex imprenditore, nel caso come sopra è questa:

(dunque un datore di lavoro): a me va benissimo l’aumento dell’1% ogni anno, l’avete scelto voi, ma vi rinnoverò il contratto tra 20 anni visto che non c’è nessun limite al periodo di transizione tra un rinnovo e l’altro.

Siamo disposti a correre un simile rischio? Perdiamo obbligatoriamente una fetta di potere contrattuale.

Durante le trattative contrattuali con un contratto scaduto da x anni, ci verrà detto per forza: Che cosa volete di più? Avete già avuto un adeguamento, mentre io, datore di lavoro, no! Poi c’è crisi, perdo clienti, c’è la concorrenza, non ho licenziato nessuno… e cosi via. La lista è infinita. Otterremo per forza di meno.

La scadenza di un contratto non sarà più una cosa rilevante visto che sarà automaticamente gestita da una proceduta ben definita. Come lo “Shutdown” americano attualmente in corso dalla fine del mese di settembre che, teoricamente, dovrebbe essere devastante. Vedi il mio articolo del 7 ottobre intitolato “Patata bollente dall’America”. Andremo a parlare sempre meno della scadenza di un contratto. Sì, certo, il contratto è scaduto, ma chi se ne frega, penso alle mie prossime ferie, al calcio, al gratta e vinci o a quella serie tv. In fondo, non sono mica stupido, guadagno lo stesso il mio 1% all’anno in più. Faremo, con la calma… Finiremo obbligatoriamente cosi. Invece la scadenza di un contratto è una cosa seria.

Se otteniamo un adeguamento ponte, che sia dell’1% come sopra o anche del 10%, secondo voi, al tavolo dei negoziati, questo ci verrà sottratto con gli interessi (come si dice) da quello che riusciremo ad ottenere, se otterremo qualche cosa in più, o ci verrà regalato? Tutti i nodi vengono al pettine. Io, personalmente, ho sempre avuto pochi regali dagli altri e, in Francia, in modo particolare anche se abbiamo una certa dimestichezza con la lotta sindacale, e gli scioperi.

Seconda perplessità: lo strumento, ossia l’adeguamento all’inflazione.
In questo caso vi riporterei alla mia analisi del 10 marco 2011 intitolato “CPI: Consumer Price Index o, in italiano, Ci Penso Io?” In effetti, l’inflazione è detta Cpi in inglese e quel “Ci Penso Io” mi era uscito direttamente dal cuore. Siamo tutti onesti, ovviamente, ma cambiando continuamente i pesi ed i prodotti, nonché inserendo nel calcolo dell’inflazione cose poche attinenti come le barche di lusso, tutti capiscono che il dato che esce può, ho scritto può e non è, essere pilotato. Questo in primis è quello che penso del tasso d’inflazione e della sua reale correlazione con la realtà.

Il tasso d’inflazione va di moda. Anche molti prestiti obbligazionari, vedi di recente un Btp, è indicizzato all’inflazione e sembra tutelarci da una perdita di poter d’acquisto. Ma è cosi?

Tuttavia, leggendo attentamente e soltanto la frase della domanda del referendum come sopra mi chiedo; che cosa succederebbe in caso di deflazione? In effetti, un tasso di inflazione negativo è possibile ed è già accaduto molte volte di recente ed in vari paesi industrializzati. Di seguito qualche esempio: nel 2012 la Svizzera aveva un’inflazione negativa di -0.40%, la Svezia di -0.10%, il Giappone di -0.10%. Nel 2009, la Finlandia aveva un tasso d’inflazione di -0.50%. Il Giappone è il tipico caso di un paese colpito dalla deflazione. Quindi, teoricamente, anche l’Italia o San Marino potrebbero avere un tasso d’inflazione negativo. Perché no? O per lo meno di 0.5% ad esempio. Pertanto, l’ipotesi iniziale di un adeguamento dell’1% è quasi ragionevole. Torniamo quindi all’ipotesi iniziale dove ci siamo fregati da soli e magari per qualche decennio. Potremmo anche perdere automaticamente in busta paga il tasso d’inflazione in quanto negativo.

Qualche ipotesi:
Si potrebbe eventualmente chiedere di adeguare le retribuzioni in modo automatico fino al rinnovo contrattuale con il tasso dare (quello dato sul conto corrente) più uno spread dello 0.50% o dell’1% (o il libor + uno spread) per esempio in modo di poter arrivare al tavolo negoziabile con onesta e senza stressare la controparte. In fondo, avremo ottenuto durante l’attesa solo il minimo indispensabile che dovrebbe essere “quasi sempre” positivo anche grazie allo spread. Saranno poi agli altri a dover dimostrarsi onesti. Diversamente, potremo utilizzare altri strumenti come i rendimenti dei titoli di Stato (Btp) a 5 o 10 anni che saranno maggiormente dipendenti dalle reali condizioni di mercato.

Potremmo non chiedere l’adeguamento automatico delle retribuzioni durante il periodo di transizione, tra un rinnovo e l’altro, facendo pressioni sulla controparte in quanto dalla parte del torto. Occorre tuttavia essere onesti fino in fondo: siamo sicuri che il mancato rinnovo sia sempre colpa degli altri? Poi si fa sempre in tempo a scioperare, ma dobbiamo essere uniti, e non lo siamo, e lo sanno. Diversamente, il rinnovo verrebbe effettuato prima della scadenza contrattuale. Quindi il mancato rinnovo è soltanto colpa nostra. Noi abbiamo bisogno di loro, ma loro hanno bisogno di noi.

Conclusione
Quindi, anche in questo caso, non vi dico se votare si o no, questo non mi interessa, ma prestate attenzione al caso della deflazione che non sembra previsto, almeno leggendo unicamente il quesito del referendum. C’è ancora tempo. Parlatene con chi di dovere se lo ritenete opportuno.

Da “bravo analista” ricordiamoci che anche l’Fmi, non più tardi di martedì, ha pubblicato le sue previsioni sull’economia mondiale evidenziando in varie occasioni un rischio di deflazione elevato in Europa. Non date retta a me, ascoltate almeno loro. Non si sa mai.

Votate quello che volete, ma votate e, questa volta aggiungo, informatevi.

Una breve parentesi. Nel mio articolo di lunedì 7 intitolato “Patata bollente dall’America” avevo scritto che “Non dimentichiamo che in Asia lo yuan cinese cerca di diventare una moneta internazionale per poi diventare il punto di riferimento in Oriente.”. Casualmente, come sempre, in questo caso 3 giorni dopo, quindi oggi giovedì, dall’agenzia Reuters leggiamo che: “La Banca centrale europea e la Banca popolare cinese hanno stretto un accordo per una linea di swap sulle valute destinata a facilitare le transazioni in yuan nella zona euro.” Di conseguenza, lo yuan cerca di diventare una moneta internazionale. Essere obiettivo ed intellettualmente onesto rende i suoi frutti.

Cordialmente
Giovanni Maiani

giovedì 10 ottobre 2013

Salzgitter – Importante test

La tedesca Salzgitter, attiva nella produzione e commercializzazione di prodotti siderurgici e tubi, potrebbe essere utilizzata negli anni a venire come esempio per spiegare il funzionamento dei pull back up, delle rette di supporto e di resistenza e di alcune fan lines.


In effetti, il titolo ha realizzato un minimo relativo all’inizio dello scorso mese di luglio a quota 24.62 dal quale è riuscito a rimbalzare effettuando un pull back up. Ora, interessa per la terza volta in poco più di 1 mese un’importante resistenza dinamica individuata a 32.3/5 euro il quale eventuale superamento confermato potrebbe coincidere con una nuova reazione positiva valida in un’ottica di breve periodo. L’analisi tecnica non è matematica, ma è probabile, in caso di immediata ripresa, la realizzazione di un successivo e terzo pull back up in corrispondenza della retta evidenziata in rosso sul grafico ed attualmente duramente messa alla prova. Otterremo un segnale di ripresa in caso di passaggio confermato al di sopra dei 33 euro.

Tuttavia, il ritorno al di sotto della fascia di supporto posta nell’area 30.0/29.5 rappresenterà un segnale ribassista che sarà accompagnato, a questo punto, dalla realizzazione di un massimo discente.

Abbiamo pertanto, anche in questa occasione, un altro titolo che testa un importante livello tecnico. La situazione è poco definita per il momento in quanto Salzgitter si mantiene all’interno dell’area di neutralità definita tra 29.50 e 33. Probabile tuttavia un tentativo di rafforzamento.

Cordialmente
Giovanni Maiani

mercoledì 9 ottobre 2013

CGG – Importante test

Il titolo francese Cgg (Compagnie Generale de Geophysique-Veritas), che opera nel settore delle geofisica, sta testando pericolosamente l’area strategica di 16.20/15.30 circa interessata dal passaggio di vari supporti, dinamici e statici, e tende a completare la realizzazione di una conformazione grafica che ricorda un testa e spalle ribassista (head and shoulders).


In effetti, l’eventuale cedimento confermato dell’area come sopra potrebbe confermare tale figura tecnica e precedere una correzione del titolo con possibile obiettivo verso 5.50 euro. Invece, il ritorno al di sopra di 17 circa potrebbe annullare tale conformazione.
Il titolo si trova dunque a un bivio fondamentale per il prossimo futuro e fa ancora in tempo a rimbalzare dall’attuale area di supporto, ma cautela.

Cordialmente,
Giovanni Maiani

lunedì 7 ottobre 2013

Patata bollente dall’America.

Gli Usa sono dall’inizio del mese in “Shutdown”; ossia i Repubblicani ed i Democratici non si sono messi d’accordo sulla legge di bilancio paralizzando gran parte delle attività governative. Al centro del disaccordo c’è principalmente la riforma sanitaria sostenuta da Obama.

Di per sé, lo “Shutdown” è un problema superabile in quanto ampiamente previsto e gestito da una normativa. In effetti, l’America ha superato ben 17 “Shutdown” dal 1976 e l’ultimo si è concluso il 6 gennaio 1996. Per il momento sembra unicamente una lotta politica come avviene correntemente in Italia anche se ci saranno conseguenze negative sul Pil e non solo.

A peggiorare le cose, c’è anche la scadenza del “debt ceiling” del prossimo 17 ottobre. In effetti, la Camera dovrà votare l'innalzamento del tetto del debito pubblico e, in caso contrario, gli Usa andranno automaticamente in default. Anche in questo caso è, teoricamente, un meccanismo semplice è ben oliato come si dice. Vedi il grafico accanto che evidenzia in rosso gli ultimi innalzamenti del tetto del debito Usa.


Tuttavia, le cose apparentemente semplici iniziano ad accumularsi ed il rischio di default, anche se improbabile, è pure sempre possibile.

Preciso che il Cds americano (sintetizza praticamente le probabilità di default), anche se molto basso, è passato da 18.5 a 45.5 dal 9 settembre al 4 ottobre realizzando un incremento del 145% in meno di un mese. Nello stesso arco temporale il cds della Germania è passato da 28 a 24 generando una diminuzione del 14% circa.


Inoltre, allo scorso mese di giugno, la sola parte del debito Usa detenuta da Cina e Giappone supera del 18.5% circa quella in mano alla Fed e questo, sotto un certo aspetto, potrebbe fare pensare anche se è un dato storico. Un eventuale default Usa potrebbe portare ad uno scenario mai visto in precedenza e fare passare il crac della Lehman una cosa che fa ridere. Come cambierebbero poi gli equilibri internazionali tra America ed Asia, e non solo, in caso di un haircut del debito Usa? Non dimentichiamo che in Asia lo yuan cinese cerca di diventare una moneta internazionale per poi diventare il punto di riferimento in Oriente.

Interessante evidenziare che il mondo vive in un clima di calma apparenze sostenuto dalla stampa di moneta a livello esponenziale, ma i vari Qe internazionali non posso durare all’infinito e la ripresa non è dietro l’angolo.

Infine, il prossimo 28 luglio ci sarà il centenario dell’inizio della prima guerra mondiale. Preferisco pensare all’inizio in modo di fare sì che non ci sia più un altro inizio. Si dice pure che una generazione lavora, la seconda gode e la terza sperpera. Secondo un certo pensiero, una generazione include 20/25 anni, mentre un’altra scuola di pensiero ipotizza 33 anni circa. A prescindere, ci troviamo probabilmente nella generazione che sperpera visto che le cose vanno come vanno. Ci sarà un motivo se parliamo di una crisi del debito internazionale. Se prendiamo in considerazione cicli di 25 o 33 anni facendoli partire il 28 luglio 1914, ossia il triste inizio della 1° guerra mondiale, otteniamo che l’attuale periodo che va dal 28 luglio 2013 al 28 luglio 2014 potrebbe essere impegnativo… Non accadrà senz’altro nulla nei mesi a venire, anche perché non parliamo di una formula matematica, ma osserviamo un numero preoccupantemente ascendente di potenziali problemi all’orizzonte.


Da “bravo analista”, penso, e francamente spero, che nessun partito politico negli Usa abbia voglia di passare alla storica per aver provocare il default della prima economia del mondo, o peggio ancora. Non possiamo tuttavia sapere che cosa c’è in fondo a livello internazionale. Quindi il dubbio è doveroso.

Pertanto, è ragionevolmente lecito ipotizzare una soluzione ai problemi “Shutdown” e “debt ceiling” alla vigilia del 17 ottobre o i giorni immediatamente precedenti. Vi parlerò in una prossima occasione della scadenza americana del 31 dicembre prossimo.

Stiamo tuttavia allerta. Sempre meglio prevedere che curare.

Cordialmente
Giovanni Maiani

martedì 1 ottobre 2013

Indice Ftsemib.

Instabilité politique en Italie.
L’indice Ftsemib a réalisé un minimum relatif en correspondance du double niveau de support situé a 17199 et obtenu par l’intersection de due lignes indiquées en rouge sur le graphique.


En effet, le Ftsemib rebondit avec force et ce mardi a conclu la journée en hausse de 3.11% portant le résultat depuis le début de l’année à 10.47%. La situation purement technique est positive, mais nous observons une réaction purement spéculative due, principalement, à des motifs politiques.
L’éventuel retour confirmé au dessus du récent maximum relatif de 18142 devrait valider la tentative de reprise en cours et favoriser la poursuite de la tendance en être vers l’important niveau psychologique de 20000. Au contraire, le retour au dessus de 17200 devrait annuler le mouvement actuel e laisser la place è une inversion baissière di court moyen terme.

La situation économique politique italienne est très vulnérable et l’Italie compte bien 68 gouvernements durant les dernières 70 années (voir mon analyse du 27 aout). Par conséquent, nous devrions toujours utiliser des niveaux de «stop loss » serrés. Probable cependant une reprise.

Salutations.
Giovanni Maiani